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   Alain Pédrono nait le 27 mars 1951 dans l’Essonne et fait ses études au lycée de Montgeron. Il entre en 1972 à l’école Nationale Supérieure des Beaux-Arts  de Paris,  puis à la faculté d’Arts plastiques de Paris I Saint-Charles. Il rencontre la même année celle qui deviendra sa femme. De cette passion folle naîtra en juillet 1985 une fille, Laure, alors que l’artiste prépare plusieurs expositions à Paris et aux Etats-Unis.

     Alain Pédrono travaille sans relâche, de jour comme de nuit, tant à Paris que dans l’Orne où le couple a acheté une petite maison. A partir de 1983, il exploite dans ses peintures des diapositives qu’il prend lui-même en les projetant sur la toile. S’il utilise beaucoup l’aérographe les premières années, il l’abandonne dès 1986 pour soigner d’avantage la matière de ses fonds et leur transparence.

    Pour le Pédrono de la maturité, le travail préparatoire sur les fonds est absolument essentiel. Il recourt à cet égard à de larges brosses préalablement découpées comme un grand peigne, puis applique alternativement plusieurs couches de gomme réserve et d’acrylique pour obtenir le maximum de transparence, la forme se dissolvant alors dans le fond.

     Il meurt brutalement le 14 avril 1999, à l’âge de 48 ans, sans avoir pu donner toutes les réponses aux problèmes picturaux qu’il se posait.

 

Autoportrait à la palette

1989 - 60F

Acrylique et palette décollée

Collection particulière de l'artiste

  S’il choisit dès son plus jeune âge la peinture figurative, ce n’est en aucun cas dans le but de reproduire servilement la réalité et ses toiles sont avant tout, selon le précepte de Maurice Denis « une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées. »

    Comme l’analyse Francis Parent, « ce jeu subtil entre couleurs, matières, gestes, formes et fond, pourrait très bien se poursuivre jusqu’aux jeux gratuits permis par l’art complètement abstrait. Seulement fortement enraciné au fond de lui, Pédrono possède un besoin irréductible de communiquer, de communiquer du sens, malgré l’apparence occlusive de ses images. Et ce besoin, seule la représentation figurative, avec toute la richesse de ses codes, est capable de le satisfaire. »

                                                                                    Lire l’intégralité de l’article de Francis Parent

                                                                                        critique d’art, membre de l’AIAC

Biographie
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