La période qui va de 1992 à 1999 est douloureuse pour Alain Pédrono et sa production artistique n’a plus l’unité des années précédentes. Le travail sur le fond et la transparence devient tellement essentiel qu’il n’y a plus, dès lors, de place pour les taches de peinture qui venaient rompre le travail de représentation de la réalité. Elles sont désormais inutiles puisque les toiles sont, avant toute chose, un assemblage de matière peinte.