En 1989, Alain Pédrono quitte définitivement la “période bleue” pour se consacrer encore davantage au travail sur les fonds qui deviennent, paradoxalement, le centre même du tableau. Chaque toile est une superposition de plusieurs couches, qui, habilement entrelacées peuvent, grâce à la gomme de réserve, se compléter et se répondre. Forme et fond ne font plus qu’un.